Les échos du conseil
Les échos du conseil
Nous continuons à protester contre le manque d’informations et de concertation dont
l’actuelle majorité a fait son mode de fonctionnement. Présentations budgétaires
lacunaires, décisions et délibérations bâclées sont en effet devenues le mode de
gouvernance du conseil municipal.
Aujourd’hui le mandat se termine et nous constatons une forme d’amateurisme
préjudiciable à la population et donc à l’intérêt public. L’idée majeure et nécessaire du
développement d’un pôle santé émise par la Communauté de communes du Grésivaudan se
réduit à un déclassement et une vente à la va-vite (échéance électorale, besoin
d’argent ?) d’une école primaire historique pour l’installation hypothétique de médecins
libéraux.
Ce projet n’est ni préparé en amont, ni sérieusement étudié et nous donne l’impression
d’une gestion « à la petite semaine » : en effet un pôle santé-social se prépare avec les
acteurs du territoire (services hospitaliers, travail statistique sur les besoins) et les
bénéficiaires potentiels du service : les habitants puisqu’il s’agit de créer un « sas »
intermédiaire au service des Urgences.
Cette décision est trop importante pour ne pas être pensée en amont et différée : elle
s’inscrit dans le développement des besoins de notre territoire.
Nous continuons à protester contre le manque d’informations et de concertation dont
l’actuelle majorité a fait son mode de fonctionnement. Présentations budgétaires
lacunaires, décisions et délibérations bâclées sont en effet devenues le mode de
gouvernance du conseil municipal.
Aujourd’hui le mandat se termine et nous constatons une forme d’amateurisme
préjudiciable à la population et donc à l’intérêt public. L’idée majeure et nécessaire du
développement d’un pôle santé émise par la Communauté de communes du Grésivaudan se
réduit à un déclassement et une vente à la va-vite (échéance électorale, besoin
d’argent ?) d’une école primaire historique pour l’installation hypothétique de médecins
libéraux.
Ce projet n’est ni préparé en amont, ni sérieusement étudié et nous donne l’impression
d’une gestion « à la petite semaine » : en effet un pôle santé-social se prépare avec les
acteurs du territoire (services hospitaliers, travail statistique sur les besoins) et les
bénéficiaires potentiels du service : les habitants puisqu’il s’agit de créer un « sas »
intermédiaire au service des Urgences.
Cette décision est trop importante pour ne pas être pensée en amont et différée : elle
s’inscrit dans le développement des besoins de notre territoire.
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